Écoute, ces trois coups de cloche… lointains…
Puis les violons, très haut perchés, entrent en canon.
Ils sont suivis de près par les altos puis l’ensemble des cordes.
Tu entends ? Pärt fait jouer les cordes en canon perpétuel pour donner l’impression d’une lente descente vers les abîmes et la mort…
Pärt a écrit cette pièce à la mémoire de Benjamin Britten, illustre compositeur britannique du XX e siècle, pour lequel il avait une profonde admiration.
Pärt me fait planer !